ségrégation?
Voilà ce que j'ai trouvé sur go***e rapidement, je creuserai demain!jai trouvé ca sur une page sur la psychopathologie du fanatisme....
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Les interdits fondateurs sont au nombre de quatre.
A- L’interdit cannibalique.
Cet
interdit correspond à la phase de la fureur. A l’origine de l’humanité les
premiers hommes qui étaient naturellement forts pouvaient consommer le corps
d’un homme plus faible. L’évolution de l’humanité s’est effectuée par interdits
successifs. Plus l’humanité évolue et plus les interdits augmentent. Le langage
actuel garde des réminiscences de l’interdit cannibalique. Il n’est pas rare
t’entendre un adulte dire, face à un bébé : « Je voudrais le manger. » Mordre
une personne et un vestige de l’interdit cannibalique. En tout cas, l’humanité a
totalement éradiqué ce besoin de manger son prochain. Cependant ce n’était là
que le tout premier début de l’évolution de l’humanité.
B- L’interdit du sacrifice humain.
Cet
interdit correspond à la transformation de la haine. Après la disparition du
cannibalisme. La haine est transférée vers un autre secteur à savoir : le
sacrifice humain, autrement dit : le besoin de calmer la fureur des dieux. Le
paganisme a été l’instrument du sacrifice humain. A son tour, ce stade de
l’évolution de l’humanité allait disparaître. Le Judaïsme a joué un rôle capital
dans sa disparition et de ce fait, a fait évoluer la communauté humaine
universelle sur la voie d’un plus grand respect de l’homme.
C- L’interdit de l’inceste.
Cet
interdit est venu lier de manière durable la structure pulsionnelle de l’homme.
L’inceste a eu la peau dure. Au quatrième siècle avant notre ère et même après,
le monde grec pratiquait ouvertement l’inceste. Les descendants de Séleucus qui
a succédé en Syrie à Alexandre le grand pratiquaient l’inceste. Il en était de
même pour les Ptolémée de la dynastie de Lagos. Eux aussi pratiquaient l’inceste
en Egypte. Dans ce domaine aussi, le judaïsme a été la première doctrine au
monde qui a lutté pour défendre cette pratique immorale, et abjecte.
D- La Socialisation
Après des milliers d’années qui ont vu l’humanité passer de l’état sauvage à
l’état humain. La socialisation a eu pour mérite de marquer les différences et
les appartenances. C’est elle qui a été le point de départ de la société
moderne. La socialisation est le respect de la loi. Celle-ci limite la liberté
humaine. Le sentiment réel ou ressenti de non appartenance peut être considéré
comme la cause de la violence. Ce sentiment, amène l’homme à ne pas respecter le
milieu familial, ce milieu auquel il n’a pas eu le sentiment d’appartenir, au
sens sain du terme. Si dans la société, de surcroît, l’enfant a le même ressenti
de rejet, il peut alors devenir violent contre lui-même ou contre les autres.